18 Août 2009
Il est Menteur, Meurtrier dans son principe...Jean 8.44
Le meurtre de l'humanité commença par un grand mensonge: Dieu veut notre mal, il n'est pas Amour. Beaucoup de personnes, croyantes ou non, en lisant la Bible, interprétée charnellement, sont gagnés par cette impression que Dieu voudrait leur ravir leur liberté. Satan, en interprétant la Bible, fait du Tout-Puissant l'ennemi de la liberté, du bonheur humain.
Que la foi dans ce mensonge conduise à une vie mondaine ou non. Elle conduit à la mort de l'âme, elle permet d'assouvir les envies de meurtre dont est habité l'Ennemi héréditaire.
Certains ne voulant plus entendre parler de Dieu « brisent les liens » et s'adonnent au péché. Ou commencent-ils à annoncer un dieu aimant d'un amour mou. C'est ce dieu qui ne sait pas guérir le pécheur qui est annoncé par l'évangile libérale dont les principes séduisent de nombreux évangéliques. Voilà pourquoi il y a tant de conversions vers des religions ou des sectes rigoristes. La monarchie divine devient, une monarchie constitutionnelle, où l'homme déchu croit gouverner.
D'autres, croyant au même mensonge, annoncent par leurs vies et leurs actes, un dieu qui n'aime pas, un dieu ennemi de la liberté humaine. Ils apportent leur sécheresse à l'église font des uns et des autres des chrétiens tristes, des tristes chrétiens. Des chrétiens habités par la peur et faisant peur. Ces chrétiens se croient justes parce qu'ils avoir sacrifié leur liberté pour leur salut. Tout le mérite du salut leur revient donc.
Dieu nous aimé et il a posé un acte par la mort de son Fils, pour notre salut et Sa Parole loin de nous limiter, nous dirige dans ce chemin étroit de la liberté vers notre but. Ne permettons pas donc, aux moments où le combat devient violent, à l'Ennemi de nos âmes de mettre en doute l'Amour de Dieu. Portons nos regards vers Celui qui s'est aliéné sa liberté céleste sur la Croix afin de briser les chaînes du diable dans nos vies. Oui, il a été vaincu le diable, par l'Amour de celui qui aime infiniment.
Confions donc en toute confiance à Christ la conduite de nos âmes, même s'il doit nous conduire par des vallées sombres. Mortellement sombres. Oui, Car c'est à Sa Table que nous sommes conviés.